Présentation de CATRAL
Entreprise algérienne de conception et de développement de logiciels (software) depuis 1993, Catral s’est spécialisée dans les applications de consultation et de recherche documentaire. Elle développe en particulier des outils pour la recherche et la consultation de la législation et de la réglementation algérienne.
Catral édite des bases de données accompagnées de moteurs de recherche portant sur l'intégralité du Journal officiel de la république algérienne et démocratique et ses différents codes : codes fiscaux, code de commerce, codes juridiques (code civil, code de procédure civile et administrative, code pénal, code de procédure pénale, code la famille, ...), code des marchés publics, code du travail, …, sur les arrêts de la Cour suprême, la réglementation bancaire, …
La qualité de nos produits, reconnue par différents utilisateurs, est le résultat conjugué de la performance des programmes de développement utilisés, du niveau professionnel des intervenants, le cumul d'une expérience de plus de 29 ans en la matière et l'écoute des utilisateurs. Nos logiciels sont conçus pour répondre aux besoins des différents utilisateurs quel que soit leur profil (administrateurs, managers, auditeurs, universitaires, législateurs, …) et quel que soit leur domaine (fiscalité, marchés publics, droit en général, …).
En résumé, nos outils sont destinés au chevronné comme au profane pour accéder directement à l’information utile.
Disponibles en monoposte (sur flash disk), en réseau local ou sur le web.
Des bases de données documentaires personnalisées peuvent également être développées par Catral pour les besoins particuliers d'un secteur donné (environnement, santé, travaux publics, construction, sécurité,…) regroupant une réglementation spécifique (textes paraissant ou non au JO).
Notre clientèle comprend :
- des institutions nationales (APN - Assemblée populaire nationale, Conseil constitutionnel, …);
- des administrations centrales (Premier ministère, différents départements ministériels et/ou leurs inspections ; finances, travail, énergie, communication, défense nationale, gendarmerie nationale, relations avec le Parlement, …);
- des institutions et autorités centrales (fonction publique, protection civile, ARPT, …);
- des administrations territoriales (APC - Assemblées populaire communales, wilayate et leurs différentes directions telles que DAL, DEM, DTP…);
- divers offices et agences nationaux (OPGI, ANDI, ANSEJ, ANEM, ADS, …), des services déconcentrés (CNR, CTC, agences foncières, villes nouvelles, …);
- des établissements de l'enseignement supérieur (universités, facs de droit, grandes écoles, …) ainsi que des centres de recherche (CRASC, CREAD, CRJJ - centre de recherche juridique et judiciaire, centres de recherche nucléaire, …);
- des établissements de la santé (CHU, EPH, EPSP, …), ou de la protection sociale (ADS, CACOBATPH, CSORVAT, …);
- des établissements militaires économiques (ERMAéro, INCT,…) ou de formation (EMP ex ENITA, EMP, …);
- des opérateurs économiques publics : secteur pétrolier, cimenteries, télécommunications, ports, presse, transport aérien, urbanisme, sidérurgie, …) ou privés (Parfums Wouroud, STPM Chiali, Laboratoires Venus, Laiterie Soummam, groupes pharmaceutiques, …);
- des sociétés étrangères ou en partenariat (ENi, Citroën, Total, Beni Saf Water, …);
- des banques et établissements financiers (nationaux : CPA, BADR, BAMIC, CNEP, CNMA, SNL, … ou étrangers de droit algérien : SGA, Natixis, Arab Bank Leasing, Trust Bank, …), le conseil national des assurances (CNA), les fonds et caisses de garantie (CGMP, FNI, FGAR, …);
- des cabinets de professions libérales notamment d'avocats nationaux ou étrangers (Cabinet Me Ghellal, Me Kobtane, Me Kahar, …), d'audit et de fiscalité (Cabinets KPMG, Deloitte, CMS Lefebvre, …), des commissaires aux comptes, des bureaux de conseil et d’expertise, …